Beaucoup de français tentent d’être frontalier en travaillant en Suisse tout en habitant en France.
Cependant, peu de gens réalisent que ce petit pays alpin possède également un système de travail unique avec ses propres particularités en matière de chômage, de retraite, de préavis de démission, d’allocations, de rémunération et de secteurs pénuriques. Jetons un coup d’œil à ces différences essentielles qui distinguent le marché du travail suisse
1. Chômage et Assurance-chômage :
2. Retraite :
3. Préavis de démission :
4. Allocations :
5. Salaire Brut/Net :
6. SMIC (Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance) :
7. Charges par Salaire :
Les charges sociales en Suisse comprennent les contributions à l’assurance-vieillesse et survivants, à l’assurance-invalidité, à l’assurance-chômage, ainsi qu’à l’assurance-maladie obligatoire. Ces charges sont partagées entre l’employeur et l’employé et représentent un pourcentage du salaire brut.
Pour les salariés :
– Assurance-vieillesse et survivants : 5.125% (jusqu’à un certain montant de revenu, puis 3.125%)
– Assurance-invalidité : 0.7%
– Assurance-chômage : 1.1% (peut varier) Assurance-maladie : Variable selon le canton (environ 7% à 8% du revenu brut)
Pour les employeurs :
– Assurance-vieillesse et survivants : 5.125% (jusqu’à un certain montant de revenu, puis 3.125%)
– Assurance-invalidité : 2.2%
– Assurance-maternité : 0.45%
– Assurance-chômage : Variable selon l’assureur (peut varier)
– Accident du travail : Variable selon le risque professionnel